Chaque année, c'est la même chose. Fin octobre, début novembre, les enseignes alimentaires britanniques dévoilent leurs publicités de Noël et, systématiquement, on se retrouve scotché devant nos écrans à pleurer sur une carotte anthropomorphe ou un géant bienveillant. C'est devenu un rituel, presque un genre à part entière. On attend ces films publicitaires comme on attendrait la sortie d'une série Netflix, on les décortique, on les compare, on vote pour notre préférée.